Je fais mon déodorant bio

 

 

 

Il y a quelques temps je vous ai exposé ma recette de dentifrice bio fait-maison. Je l’utilise toujours au quotidien et malgré sa couleur, mes dents ne sont pas encore devenues vertes, ouf !

Aujourd’hui je vous parle de mon déodorant.

La recette -vous l’allez voir- est très simple, très rapide, peu coûteuse pour peu que l’on possède les quelques ingrédients nécessaires.

Il vous faut :

– 100g d’huile de coco désodorisée ou pas, ça dépend si vous aimez l’odeur de coco

– 40g de fécule de maïs

– 60g de bicarbonate de soude

– optionnel :10 gouttes d’huile essentielle au choix (avec prudence toujours, les huiles essentielles peuvent avoir des contre-indications à ne pas négliger). Personnellement j’utilise de la lavande mais parfois je n’en mets pas et je me contente du parfum naturel de l’huile de coco .

Bien évidemment, si vous voulez que votre déo soit bio, il faut que les ingrédients le soient 😉

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Réalisation :

pesez 100g d’huile de coco et faites-la fondre. Micro-ondes ou bain-marie, c’est très rapide, l’huile de coco ne demande qu’à fondre, limite si t’as un peu de fièvre et que tu lui souffles dessus, elle se liquéfie !

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Pesez également 40g de fécule de maïs et 60g de bicarbonate de soude

Mélangez l’huile fondue, les poudres, ajoutez éventuellement l’huile essentielle. Je fais mon mélange dans un petit bocal : je ferme et je secoue, fastoche !

Versez le mélange homogénéisé dans un petit récipient (ou deux) de votre choix et placez au réfrigérateur pour que votre déo durcisse (1 heure suffit).

Voilà votre déo prêt à l’emploi. Pour l’utiliser, il convient d’en gratter une petite quantité, à l’ongle ou avec une petite spatule et de l’appliquer. Il fond instantanément au contact de la peau, un petit massage (important le massage d’aisselle !) pour faire pénétrer et hop 🙂

Quels avantages, quels inconvénients ?

Les + : rapide et facile à faire, pas cher, je l’ai déja dit. Exempt de toutes les cochonneries qu’on nous impose dans les produits industriels, c’est pas rien. Son avantage principal est d’être super efficace, toute la famille l’a adopté et ça c’est chouette !

Les – : il faut le faire, parfois on n’a pas le temps, pas envie, la flemme. Certains se plaignent de tâcher leurs vêtements, ça ne m’est jamais arrivé, peut-être qu’il faut se méfier avec des vêtements très près du corps ou des tissus fragiles. La présentation peut dérouter ; je sais que certains utilisateurs réfléchissent à le mouler dans des bacs à glaçons pour obtenir quelque chose qui se rapprocherait d’un bâtonnet plus facile à utiliser, à voir. Le vrai inconvénient c’est qu’il se liquéfie dès qu’il fait un peu chaud, alors à moins d’avoir un  mini bar réfrigéré dans la salle de bains il vous faudra sûrement, l’été,  ranger le déo dans le frigo de la cuisine, pas top pratique.

Voilà vous savez tout. Moi je l’aime comme il est mon déo fait maison et je ne l’échangerais pas contre un autre !

 

 Bonne fin de semaine !

Je fais mon dentifrice bio

Souvent je me dis, c’est quoi ce monde d’empoisonneurs ?, et je me préoccupe de plus en plus de ce que j’utilise, ingère, consomme … Du coup je teste des nouveaux produits et je tente des expériences.

Après avoir essayé le dentifice bio qu’on trouve en magasins spécialisésje me suis lancée dans la fabrication de mon dentifrice bio maison. Je n’ai pas inventé la recette, il y a des tas de blogs et d’ouvrages spécialisés qui en parlent et qui proposent différentes variantes. Je vous livre la mienne.

Vous avez besoin de bicarbonate de soude, d’argile verte, d’huile essentielle de citron, d’1 ou 2 clous de girofle et d’un petit contenant avec couvercle.

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Recette : Mélangez 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude, 4 cuillères à soupe d’argile verte, diluez dans 3 cuillères à soupe d’eau. Ajoutez 2 gouttes d’huile essentielle de citron et les clous de girofle.

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Vous obtenez cette appétissante mixture destinée à vous brosser les dents !

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Alors je ne vous le cache pas, il faut être motivé.e

La couleur déjà peut rebuter.

Au goût, rien à voir avec la douce saveur mentholée des dentifrices du commerce. Moi je trouve que ça va mais Chéri ne peut s’y faire, il trouve ça salé.

Il faut bien refermer le pot après usage sinon ça sèche (c’est aussi pour ça qu’on ne peut pas préparer de grosses quantités à la fois) et, au bout de quelques jours, le clou de girofle fait noircir la préparation.

D’ailleurs, à propos du clou de girofle, j’ai testé une recette qui proposait de l’écraser/mixer avant de l’intégrer à la préparation. Personnellement je n’ai pas trop apprécié les petits grains noirs dans mon dentifrice, alors je préfère le mettre entier. On peut aussi le supprimer mais son effet antiseptique est plutôt bénéfique.

Côté huile essentielle, on peut opter pour de la menthe (je n’aime pas le goût alors je n’ai pas essayé). Il faut faire attention au dosage  car les huiles essentielles sont très concentrées. Lors de mon premier essai, j’avais laissé couler une dizaine de gouttes au lieu de 2 et ça piquait fort ! Tel le chien de Pavlov, je salivais à grosses gouttes à la simple vue de mon pot de dentifrice, élégant 😀

Puisqu’on est dans l’hygiène bucco-dentaire, je partage mon bon plan brosse à dents. J’en avais marre d’errer une 1/2 heure dans le rayon hygiène de mon supermarché, à la recherche de LA brosse à dents qui me convienne et surtout qui ne soit pas fabriquée à l’autre bout du monde. Et je suis tombée là-dessus. On peut commander les brosses à dents de toute la famille, mieux on peut s’abonner pour recevoir, à la fréquence de son choix, la/les brosses à dents choisies. Elles sont fabriquées en France et on peut même les faire recycler. Je précise que je ne suis pas payée par la marque pour en parler ici 😀 Néanmoins si le principe de la brosse à dents française dans votre boîte aux lettres vous tente, sachez qu’il y a un système de parrainage qui peut vous faire économiser 5€ (et à moi aussi mais je ne compte pas là-dessus pour m’enrichir…). Il suffit de me faire parvenir votre adresse e-mail pour que je vous envoie une invitation.

Bon la prochaine fois, je vous parle de mon déo. Bonne semaine !

Genver, le retour

J’en ai déjà parlé ici, ce n’est donc pas une surprise, j’ai mis en route un deuxième Genver, pour moi celui-là. Promis juré, après, plus de châles, quoique …

Je profite de l’occasion qui m’est donnée pour rétorquer à ceux qui me feraient remarquer que j’ai déjà trop de châles, que je m’inscris en faux !  Des châles j’en ai fait (laissez-moi compter sur mes doigts : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 !) 10 avec ce nouveau Genver.

Parmi ces 10, 6 ont été offerts, il en reste 4.   4 plus 2 qui m’ont été offerts …

… ça fait un total de 6. Et 6 châles dans une garde-robe de tricoteuse addicte, ça n’est pas du tout exagéré ! Enfin je trouve !

(Et non on ne peut pas additionner les écharpes, snoods et autres cache-épaules avec les châles, ça n’est pas du tout la même chose !!!) Fin de la digression.

Ce Genver donc …

 

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Prenez 120g de laine, une paire d’aiguilles N°5, un No Stress, tricotez sereinement pendant 7 ou 8 soirées …

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… et vous obtenez un châle aux doux reflets pastels, parfait pour ces jours de grands froids. Il est tellement parfait qu’il est beau lorsque je le jette sur un canapé en rentrant du travail …

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…beau encore si je le suspends à une patère (parce que quand même, je ne suis pas du genre à laisser traîner mes affaires toute la journée) …

Et beau également, lorsque je le porte … parfait je vous dis !

 

 

Laine Samantha Mixage, 55% Mohair, 45% acrylique, modèle gratuit Genver sur le blog de Soie et Laine.

Bonne fin de week end et bonne semaine 🙂

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No Stress

J’en ai remis un sur mes aiguilles. Un Genver.

J’aimais tellement celui qui était parti rejoindre Luciole que j’en voulais un pour moi.

Problème : plus que deux pelotes de ce bleu doucement mêlé de parme au lieu des trois nécessaires.

Solution : une autre pelote orpheline, même marque, même qualité, un duo de bleu et de rose.

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Je décide donc que ces trois-là feront mon Genver à moi et je réfléchis à l’agencement des couleurs. Pas trop envie d’une alterrnance marquée de rose et de bleu, j’opte donc pour un méli-mélo. Un rang rose/2 rangs bleus, ce qui m’obligera à utiliser simultanément mes trois pelotes puisque le fil ne sera jamais du bon côté de l’ouvrage (cherche pas, j’ai réfléchis à fond, y’a pas moyen !)

Problème : les noeuds. J’ai bobiné mes pelotes car cette laine doucement duveteuse ne demande qu’à s’emmêler inextricablement, avec une pelote ça se gère, avec trois, je cours à la catastrophe !

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Solution : manger une glace en vrac. T’as le droit de choisir le parfum, t’as le droit de te faire aider si tu trouves que 2 litres de glace c’est trop. Tout ce qu’il te faut en fait c’est le couvercle. Même pas obligé que ce soit de la glace d’ailleurs.

Et c’est parti pour un peu de bricolage.

Je découpe un morceau d’environ 12cm x 6 cm dans mon couvercle, j’arrondis les angles pour éviter d’accrocher mon ouvrage. Je fais trois entailles, terminée chacune par un trou (tu plantes la pointe d’une paire de ciseaux, tu tournes, tu limes le plastique qui dépasse à l’envers pour que la laine glisse bien). Voilà No Stress, un petit accessoire maison qui permet de tenir les fils éloignés les uns des autres.

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Et hop ! Je n’irais pas jusqu’à prétendre que ça élimine complètement le problème et il faut quand même démêler de temps en temps, genre une fois à la fin de la soirée, ça reste supportable !

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Allez, c’est parti pour quelques soirées tricot en toute sérénité 🙂

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